Abidjan 2025 : Le Tchad en première ligne à la réunion de la Circonscription Afrique Centrale de la BAD
Actualités Economie Nationale

Abidjan 2025 : Le Tchad en première ligne à la réunion de la Circonscription Afrique Centrale de la BAD

En prélude à l’ouverture officielle des Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), prévues du 27 au 30 mai à Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, la délégation tchadienne a activement pris part à la réunion de la Circonscription Afrique Centrale. Cette rencontre stratégique s’est tenue dans le cadre des préparatifs techniques et politiques des pays membres en amont des travaux officiels.

Conduite par Madame Fatima Haram Acyl, ministre déléguée auprès du ministre des Finances, chargée de l’Économie, du Plan et de la Coopération internationale, et gouverneure intérimaire de la BAD pour le Tchad, la délégation a joué un rôle de premier plan dans les discussions.

La réunion de la Circonscription Afrique Centrale, regroupant plusieurs pays membres de la Banque issus de cette sous-région, visait à harmoniser les positions sur les enjeux majeurs de développement, renforcer la coordination sous-régionale, et porter une voix commune lors des échanges avec les instances dirigeantes de la Banque.

Madame Fatima Haram Acyl a mis en exergue, au nom du Tchad, les priorités nationales en matière d’investissement, de résilience économique, et de transformation structurelle. Elle a également souligné l’importance d’un soutien accru de la BAD pour faire face aux défis communs que sont les changements climatiques, la sécurité alimentaire, et l’accès aux infrastructures de base.

Cette participation témoigne de l’engagement constant du Tchad à œuvrer pour une coopération régionale dynamique, en phase avec les objectifs de développement durable, et à valoriser la voix des pays de l’Afrique centrale au sein des instances financières continentales.

Les Assemblées annuelles 2025 de la BAD, placées sous le thème « Mobiliser des financements pour le développement durable de l’Afrique », s’annoncent comme un moment fort de dialogue entre les gouvernements africains, les bailleurs de fonds, les institutions multilatérales et le secteur privé.

LA REDACTION

    Laisser un commentaire

    • Rating