FESPACO 2025 : 17 films en lice pour l’Étalon d’Or de Yennenga
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FESPACO 2025 : 17 films en lice pour l’Étalon d’Or de Yennenga

Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) a ouvert ses portes ce samedi 22 février 2025, mettant en compétition 17 films pour le prestigieux Étalon d’Or de Yennenga. Ce prix, symbole de reconnaissance ultime du cinéma africain, sera décerné lors de la cérémonie de clôture prévue le 1er mars.

Cette année, la sélection officielle met en lumière la diversité et la richesse du cinéma africain, avec des réalisations venues de plusieurs pays du continent. Parmi les films en lice, on retrouve Diya, du cinéaste tchadien Achille Ronaimou, une œuvre qui explore les réalités sociales et culturelles du Tchad à travers une narration poignante et engagée.

Le FESPACO, qui se tient tous les deux ans à Ouagadougou, est la plus grande manifestation cinématographique dédiée aux productions africaines. Cette édition met à l’honneur des thématiques variées, allant des problématiques sociopolitiques aux récits intimes, en passant par des fictions et des documentaires qui témoignent de la vitalité de l’industrie cinématographique du continent.

Alors que les projections battent leur plein, cinéastes, acteurs et amateurs de cinéma attendent avec impatience le verdict du jury. L’Étalon d’Or de Yennenga, véritable tremplin pour les lauréats, ouvre souvent les portes des festivals internationaux et des circuits de distribution mondiaux.

Voici la liste des films en lice :

“Toutes les couleurs du monde”, de Babatunde APALOWO (Nigéria)

“Augure” de BALOJI (RD Congo)

“Demba” de Mamadou DIA (Sénégal)

“Diya” de Achille RONAIMOU (Tchad)

“Everybody loves Touda” de Nabil AYOUCH (Maroc)

“Au revoir Julia” de Mohamed Kordofani (Soudan)

“Hanami” de Denise FERNANDES (Cap Vert)

“Katanga, la danse des scorpions”, de Dani KOUYATE (Burkina Faso)

“L’effacement”, de Karim MOUSSAOUI (Algérie)

“Les enfants rouges”, de Lotfi ACHOUR (Tunisie)

“Les invertueuses”, de Chloé Aïcha BORO (Burkina Faso)

“Nome”, de Sana NA N’HADA (Guinée Bissau)

“On becoming a guinea fowl”, de Rungano NYONI (Zambie)

“Sanko / Le rêve de Dieu”, de Mariam KAMISSOKO (Mali)

“The Bride / La mariée”, de Myriam BIRARA (Rwanda)

“The village next to paradise” de Mo HARAWE (Somalie)

“Malès” de Antonio PITANGA (Brésil)

Le 1er mars marquera ainsi un moment décisif pour ces 17 films en compétition, et pour l’ensemble du cinéma africain, qui continue de s’affirmer sur la scène mondiale.

LA REDACTION

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