La ministre de la Femme et de la Petite Enfance, Mme Kitoko Gata Ngoulou, a exprimé ce mardi son indignation et sa profonde consternation face aux images atroces diffusées depuis le 17 août 2025 sur les réseaux sociaux. Ces images montrent le meurtre brutal de deux jeunes enfants, âgés de trois et cinq ans, dans le 7ᵉ arrondissement de la capitale tchadienne.
Dans un communiqué officiel, la ministre a dénoncé un crime odieux et inacceptable qui « contraste avec les valeurs fondamentales de la société tchadienne, comme celles de toutes les sociétés civilisées ». Elle a présenté, au nom de son ministère, ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes et à leurs proches, leur assurant du soutien indéfectible des autorités dans cette épreuve douloureuse.
« Nous partageons votre peine et vous assurons de notre soutien indéfectible dans cette épreuve douloureuse », a déclaré Mme Kitoko Gata Ngoulou.
Le ministère de la Femme et de la Petite Enfance a annoncé suivre ce dossier avec une attention particulière, en coordination étroite avec le Ministère de la Justice et les forces de sécurité, sous l’autorité du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno.
La ministre a insisté sur la nécessité que la vérité soit rapidement établie et que les auteurs de ce crime soient identifiés, poursuivis et sanctionnés avec toute la rigueur de la loi.
Mme Kitoko Gata Ngoulou a rappelé que le Tchad, « terre de dignité et de résilience », ne saurait tolérer de tels actes de barbarie.
« Ensemble, refusons la barbarie et œuvrons pour une société où chaque enfant peut grandir en paix », a-t-elle exhorté.
Cet appel solennel intervient alors que la population de N’Djamena reste sous le choc de ce drame, réclamant justice et des mesures fortes pour protéger les enfants contre toutes formes de violences.
LA REDACTION