Lors de la 19e Conférence de l’Union Parlementaire de la Coopération Islamique (UPCI), qui se tient du 11 au 16 mai 2025 à Jakarta, en Indonésie, Sa Majesté Mbang Hadji Woli Mahamat, Sultan du Chari-Baguirmi et Premier Vice-Président du Sénat de la République du Tchad, a été brillamment réélu membre du bureau exécutif de l’organisation, en qualité de représentant du groupe Afrique.
Cette réélection s’est accompagnée d’une distinction majeure : Mbang Hadji Woli Mahamat a également été porté au poste de Premier Vice-Président de l’Union Parlementaire de la Coopération Islamique (UP/OCI). Une reconnaissance de poids pour celui qui incarne depuis plusieurs années la voix du Tchad et de l’Afrique dans les instances parlementaires islamiques.
L’élection de Sa Majesté Mbang Hadji Woli s’est faite par acclamation, signe manifeste de la confiance et de l’estime que lui témoignent ses homologues des pays membres de l’OCI. Cette unanimité vient saluer son engagement continu, sa rigueur diplomatique et son sens du devoir dans la promotion de la coopération parlementaire au sein du monde islamique, notamment sur le continent africain.
En tant que Chef de la délégation parlementaire tchadienne auprès de l’UPCI, Mbang Hadji Woli Mahamat n’a cessé de défendre les intérêts africains au sein de l’organisation, plaidant pour un dialogue constructif entre les parlements membres, un renforcement des échanges législatifs, et une meilleure inclusion des pays africains dans les dynamiques décisionnelles de l’Union.
Dans son discours de remerciement, Sa Majesté a exprimé sa profonde gratitude aux membres de l’OCI pour leur confiance renouvelée, affirmant sa détermination à servir avec loyauté, intégrité et responsabilité. Il a également souligné l’importance d’une coopération parlementaire efficace pour relever les défis communs tels que la sécurité, le développement durable et la cohésion sociale dans le monde islamique.
Cette distinction renforce non seulement la position du Tchad sur la scène diplomatique islamique, mais elle illustre également l’importance croissante des voix africaines dans la gouvernance parlementaire multilatérale.
LA REDACTION
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